Quand Nobel fait la pub pour Pfizer
Un prix Nobel de Médecine pour un vaccin qui n’immunise pas et n’empêche pas la transmission : de quoi tomber de sa chaise. On devrait plutôt, au vu des bénéfices plantureux de Pfizer, leur décerner le prix Nobel d’Economie.
La technologie à ARNm est un exploit : elle a permis, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, de produire et commercialiser en masse un vaccin qui, selon les aveux même des autorités :
- N’empêche pas d’être contaminé par le virus
- N’empêche pas de tomber malade, ni d’avoir des symptômes importants
- N’empêche pas la transmission de ce virus à d’autres personnes
- Nécessite des doses de rappels à répétition
Il suffit de lire la définition de « vaccin » pour comprendre que quelque chose cloche :
« Préparation administrée pour stimuler le système immunitaire de manière à développer une immunité durable contre une maladie. »
Et on ne parle même pas des effets secondaires !
Katalin Karikó est vice-présidente senior chez BioNTech RNA Pharmaceuticals, partenaire de Pfizer